Alternative budgets

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Ottawa–Une mise à jour économique alternative publiée aujourd’hui démontre qu’entre l’élection de 1997 et l’exercice financier 2001, les Libéraux n’auront consacré que 2 p. cent du dividende fiscal aux investissements sociaux et 98 p. cent aux réductions d’impôt et au remboursement de la dette. Cela contredit leur promesse électorale de 1997 d’allouer 50 p. cent du dividende fiscal aux programmes sociaux.
OTTAWA–Le gouvernement fédéral pourrait allouer au moins 10 milliards de dollars par année à de nouvelles dépenses au cours de ses deux prochains exercices financiers, payer les prestations de base de l’assurance-emploi, et couvrir les frais supplémentaires occasionnés par les mesures de sécurité nationale, tout en équilibrant son budget. Voilà la conclusion d’une analyse économique et fiscale publiée aujourd’hui par la coalition qui prépare L’Alternative budgétaire pour le gouvernement fédéral en vue de la présentation la semaine prochaine du budget fédéral.
La majorité des Canadiennes et des Canadiens qui veulent que le gouvernement fédéral renonce à sa vision étroite de coupures d’impôt et de réduction de la dette trouveront le réinvestissement social qu’ils cherchent dans l’Alternative budgétaire pour le gouvernement fédéral 2003 : La solution au budget commun, lancé ce jour même par le Centre canadien de politiques alternatives.
L’Alternative budgétaire pour le gouvernement fédéral 2003-2004 : La solution au budget commun Faits saillants de l’ABGF Approche macroéconomique et fiscale
Ottawa—Malgré la campagne de peur menée par John Manley et Paul Martin au sujet de sombres perspectives budgétaires, les calculs de l’Alternative budgétaire pour le gouvernement fédéral montrent que les Canadiennes et Canadiens peuvent s’attendre à un surplus fédéral de 6,6 milliards de dollars au cours de l’exercice financier 2003-2004.
"Tough decisions must be made," declared the BC government in this week's Throne Speech. "It won't be easy and it won't be without some hardship," but spending cuts are "necessary." The central message track coming from Victoria these days is: yes, this is going to hurt, but we have no choice. The message is nonsense--good public policy is all about choices. There is nothing inevitable about the government's reckless spending cuts
Tuesday is BC Budget day. As the province stares down the largest deficit in its history, and braces for two more years of painful spending cuts, many British Columbians are wondering if it really had to be this way. Could much of this hardship and red ink have been avoided? Could the school, hospital and child care closures have been prevented? Did the welfare cuts have to happen? Could we have done all this and still balance the budget by 2004/05? Sound like wishful thinking? Not at all.
Paul Martin has made democratic reform a hallmark of his leadership. According to the throne speech, the government promises to "make Parliament what it was intended to be - a place where Canadians can see and hear their views debated and their interests heard." But it is pretty clear that no democracy can function without clear and accurate information about what the government is really doing. After all, how can Canadians engage effectively with our elected representatives if we don't know the real facts and figures?